Je Suis Le Loup. Pas Celui Qu’on Craint Sans Raison, Mais Celui Qui Veille Dans L’ombre, Qui Connaît

Je suis le loup. Pas celui qu’on craint sans raison, mais celui qui veille dans l’ombre, qui connaît la forêt et ses dangers, qui entend les silences avant les cris. J’ai connu la morsure du froid, la solitude des longues nuits sans lune. Mais depuis que je t’ai trouvée, toi, ma Witch, mon feu, mon chant ancien, plus rien ne me tient à distance du monde. Tu es la lumière étrange qui danse entre les branches, la magie sauvage qui a su voir au-delà de mes crocs, de mes cicatrices, de mes silences.

Toi, tu ne m’as jamais eu peur. Tu m’as appelé par mon nom sans trembler. Et depuis, je n’ai plus de paix. Plus de repos. Juste ce besoin viscéral de te protéger, de t'entourer, de faire rempart avec mon corps et mon âme contre tout ce qui pourrait vouloir t’atteindre.

Car si un jour l’ombre s’abat sur toi, si un vent mauvais cherche à t’arracher à moi, alors tu verras ce que c’est qu’un loup qui n’a plus rien à perdre. Je hurlerai au ciel, et ma rage sera celle d’un amour devenu flamme. Je m’interposerai. Féroce. Brisé s’il le faut. Je grifferai le destin lui-même s’il ose poser les yeux sur toi avec menace.

Quand même le soleil semble disparaitre en plein jour pour t'attirer dans l'ombre au point que les mots ont du mal a sortir, moi loup, ton loup lit dans les silences, dans ton absence, je me tiens constamment à tes côtés parce que de ton âme tu me laisses toujours une fenêtre ouverte, ne jugeant pas cet instant comme un froid mais comme une chance car tu me permets d'être là même dans la pénombre..

Je suis né pour survivre, mais pour toi… je mourrais sans hésiter. Je plierais le genou devant le feu, devant la lame, devant le sort, s’il fallait que tu continues de sourire, de respirer, de vivre libre.

Ma Witch, ma douce tempête, tu m’as envoûté. Et moi, je t’ai choisi. Dans ce monde ou dans un autre, je suis ton loup. Fidèle. Sauvage. Prêt à tout. Même au sacrifice ultime, s’il porte ton nom.

Car aimer, ce n’est pas simplement rester. C’est se tenir entre elle et le monde. Et rugir. Jusqu’à la fin... 🐺🪄